Un coup de coeur, des lectures et un Disney

La différence invisible Julie Dachez et Mademoiselle Caroline. Editeur Delcourt. 2016.

Lu le 20 février 2018, emprunté à la bibliothèque de Paris

Marguerite a 27 ans, en apparence rien ne la distingue des autres. Elle est jolie, vive et intelligente. Elle travaille dans une grande entreprise et vit en couple. Pourtant, elle est différente.
Marguerite se sent décalée et lutte chaque jour pour préserver les apparences. Ses gestes sont immuables, proches de la manie. Son environnement doit être un cocon. Elle se sent agressée par le bruit et les bavardages incessants de ses collègues. Lassée de cet état, elle va partir à la rencontre d’elle-même et découvrir qu’elle est autiste Asperger. Sa vie va s’en trouver profondément modifiée.

Avis: 5/5

J'ai pris cet ouvrage juste à cause de la couverture donc je ne savais pas du tout de quel thème cela allait traiter. Et j'ai été plus qu'agréablement surprise.

J'ai tout adoré, le graphisme, l'histoire de Marguerite, de la maladie de l'autisme et des difficultés.

Bref, c'est un véritable coup de coeur. J'ai été chamboulé par cet ouvrage pendant plusieurs jours.

J'ai même décidé de l'acheter car je le veux vraiment chez moi.

Calendar Girl. Janvier Audrey Carlan. Editeur Hugo et Compagnie. 2017.

Lu le 21 février 2018, livre personnel

Mia vit seule avec son père et sa petite soeur à Las Vegas. Elle veut devenir comédienne. Depuis le départ de sa mère, son père boit et joue. Il emprunte 1 million de $ qu'il perd et ne peut rembourser. Le prêteur sur gages l'expédie dans le coma. Mia doit assumer la dette de son père sous peine que sa petite soeur et elle subissent le même sort.

Elle deviendra escort. Un contrat mensuel de 100 000 $.
12 hommes, 12 villes, 12 rencontres, 12 livres... des scénarios qui se croisent, se recroisent et se décroisent.

Avis: 4/5
Bon d'accord, j'ai craqué finalement à force de les voir partout... J'ai donc acheté les mois de janvier et février il y a un moment.

Evidemment, ce n'est pas de la grande littérature et je ne suis pas fan des passages "pseudo-érotiques" mais sinon, ça détend et le personnage de Mia est plutôt mignon et attendrissant.

Paul dans le Nord Michel Rabagliati. Les éditions de la Pastèque. 2015.

Lu le 22 février 2018, emprunté à la médiathèque d'Issy.

Été 76. Paul a 16 ans et ne rêve que d'une chose: une motocyclette Kawasaki KE100 pour fuir son quotidien et ses parents envahissants. Avec Ti-Marc, un nouvel ami rencontré à sa polyvalente, Paul traversera cette période difficile de son adolescence avec un peu plus de légèreté. Voyages en auto-stop, soirées arrosées entre copains et expériences nouvelles seront au rendez-vous. Le tout, sur fond de jeux olympiques, de musique de Peter Frampton et de Beau Dommage…

Avis: 3/5

C'est plutôt sympa à lire... mais c'est pas fou non plus. Je n'ai pas tout capté car certaines expressions sont en québécois. Le graphisme n'est pas mon préféré parce qu'i est assez simpliste et sans couleurs.

Après, le personnage de Paul est un peu paumé et tellement romantique qu'il fait forcément sourire.

Douze ans, sept mois et onze jours Lorris Murail. Editeur Pocket Jeunesse. 2015.

Lu le 23 février 2018, emprunté à la bibliothèque de Vanves.

Une cabane perdue dans les forêts du Maine. C'est là que Walden est abandonné par son père. À partir de maintenant, le garçon va devoir se débrouiller pour survivre dans les bois. Avec pour seule richesse quelques boîtes de conserve, un livre de Thoreau et une carabine. À la fin de chaque journée, Walden note son âge sur une écorce de rondin. Douze ans, sept mois et quatre jours, au moment où commence son apprentissage pour le moins étrange...

Avis: 3/5

C'est compliqué de donner un avis sur ce livre parce qu'il est divisé en deux parties... qui pour moi, ne se valent pas.

J'ai beaucoup aimé la première partie où on suit Walden dans sa cabane, même si je ne comprenais pas pourquoi il se retrouvait là.

J'ai beaucoup moins apprécié la deuxième partie, et surtout le dénouement de l'histoire. 

Ce livre est qualifié comme thriller... mais franchement ce n'est pas exceptionnelle comme intrigue.

Emma et Capucine Tome 1: Un rêve pour trois Jérôme Hamon et Lena Sayaphoum. Editeur Dargaud. 2017.

Lu le 24 février 2018, emprunté à la médiathèque d'Issy

Emma et Capucine sont soeurs et partagent un rêve : entrer ensemble dans la prestigieuse école de danse de l'Opéra de Paris pour devenir danseuses étoiles. Capucine passe les premières auditions avec succès. Pas Emma... et le monde de la jeune fille s'écroule. Mais sa vocation n'est-elle pas ailleurs ? Si son père l'encourage à chercher sa propre voie, sa mère n'envisage pas qu'elle puisse renoncer à la danse. Quant à Capucine, l'idée même d'évoluer sans sa soeur lui paraît un défi insurmontable. Néanmoins, Emma découvre de nouveaux horizons et de nouvelles sensations grâce au hip-hop...

Avis: 4/5

Cela faisait un moment que je passais devant dans mes diverses bibliothèques, mais je me disais que c'était trop enfantin. Puis j'ai craqué... et je ne regrette pas. Oui, c'est en jeunesse mais c'est tellement mignon. Le graphisme est au top pour une série sur la danse classique. On suit cette famille avec les deux filles et la mère qui sont à fond dans la danse... enfin plus ou moins. J'aime aussi beaucoup le personnage du papa, qui a un rôle super.

Subaru. Danse vers les étoiles. Tome 2. Masahito Soda. Editions Delcourt. 2006.

Lu le 25 février 2018, emprunté à la médiathèque d'Issy.

Dans ce deuxième volume, nous retrouvons une Subaru âgée de quinze ans. Apprenant la danse à sa manière, en prenant des cours dans une école classique tout en recevant l'enseignement de sa "tatie", notre héroïne n'est pas une élève consensuelle... et pourtant quel talent! Ce tome marque les premières difficultés de notre héroïne dans le domaine de la danse. Pour participer à un ballet, Subaru va en effet devoir se surpasser pour être à la hauteur et réussir son premier défi: danser en mesure avec les autres ballerines.

Avis: 2,5/5
Le graphisme est aussi joli que dans le tome 1 mais je trouve que l'histoire part dans tous les sens... je ne comprends pas forcément les vignettes. Il y a des retours en arrière, des émotions qui sortent d'un coup... Je ne suis pas du tout fan de ce tome. La ténacité de Subaru est très belle mais ça ne suffit pas à tout porter.

Wall E d'Andrew Stanton, sorti le 30 juillet 2008.

Vu en DVD le 24 février 2018.

Faites la connaissance de WALL•E (prononcez "Walli") : WALL•E est le dernier être sur Terre et s'avère être un... petit robot ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL•E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul...
Cependant, sa vie s'apprête à être bouleversée avec l'arrivée d'une petite "robote", bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d'elle, WALL•E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu'EVE est rappelée dans l'espace pour y terminer sa mission, WALL•E n'hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite... Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie... Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l'univers et vivre la plus fantastique des aventures !

Avis: 4/5
Je n'avais jamais vu Wall E, et je ne suis pas déçue. Son personnage est trop mignon et celui d'Eve aussi.

J'ai beaucoup aimé la réflexion sur les déchets et la Terre mais aussi sur le fait de rester devant son écran toute la journée à manger.

C'est très bien fait.