Du 5 au 10 août 2019

Comme des bêtes 2 de Chris Renaud et Jonathan Del Val.

Sorti le 31 juillet 2019, vu le 6 août 2019 au Gaumont Parnasse.

Le Fox-Terrier Max doit faire face à un grand bouleversement : sa propriétaire Katie s’est mariée et a eu un adorable bébé, Liam. Max est tellement obsédé par la garde du petit, qu’il en développe des troubles obsessionnels du comportement. Lors d’une excursion en famille dans une ferme, Max et le gros Duke vont faire la connaissance de vaches souffrant d’intolérances aux canidés, de renards hostiles et d’une dinde monstrueuse, ce qui ne va pas arranger les tocs de Max. Heureusement il va être conseillé par le vieux Rico. Ce chien de ferme aguerri le pousse à dépasser ses névroses, afin de trouver l’Alpha qui sommeille en lui et laisser le petit Liam respirer.
Pendant ce temps, alors que son maître est absent, Giget, la petite Loulou de Poméranie, essaie de sauver le jouet préféré de Max d’un appartement infesté de chats avec l’aide de l’imposante Chloe, devenue complètement accro à l’herbe à chat.
Pompon, l’adorable petit lapin complètement cintré, pense qu’il a des superpouvoirs depuis que sa propriétaire Molly lui a acheté un pyjama de super héro. Mais quand Daisy, une Shih Tzu téméraire, vient l’embarquer pour une mission périlleuse, il lui faudra rassembler tout son courage pour devenir le héro qu’il n’était pour l’instant que dans ses fantasmes.
Max, Pompon, Gidget et le reste de nos petits amis trouveront-ils le courage d’affronter leurs plus grandes peurs ?

Avis: 4/5

J'ai été très contente de retrouver tous les petits animaux de Comme des bêtes. Il y a trois histoires en une, du coup, on ne s'ennuie pas. J'ai beaucoup aimé l'histoire de Pompon et du tigre qu'il essaie de sauver. C'est très drôle, beaucoup de second degré mais pas que. Max nous emmène dans une quête intérieure.

Le graphisme est haut en couleurs et très bien fait. 

Du 5 au 10 août 2019

Evil, tome 1: Vicious de V.E.Schwab. Editeur Lumen. 2019.

Lu le 8 août 2019, emprunté à la bibliothèque de Paris.

Le combat du mal contre le mal absolu.
Autrefois, Eli et Victor étaient les meilleurs amis du monde. Mais cette époque est bien finie. Elle est même... morte et enterrée.

À la fac, Eli le brun et Victor le blond partagent la même chambre. Ils sont inséparables et pourtant absolument aux antipodes l'un de l'autre. Victor, c'est l'ombre : complexe et torturé, il passe ses journées à noircir les ouvrages de développement personnel de ses parents pour laisser apparaître des slogans d'un pessimisme saisissant. Eli, c'est la lumière – un garçon fascinant, doté de toutes les qualités, charismatique et solaire. Pourtant, sous la surface lisse du visage parfait de son ami, Victor entrevoit des démons inavouables. Et il n'est pas au bout de ses surprises...

Car un jour, Eli fait la découverte du siècle : des pouvoirs surhumains semblent se manifester chez ceux qui ont subi une expérience de mort imminente. On les appelle des EO – pour " ExtraOrdinaires ". Aveuglés par l'ambition et la curiosité, les deux amis se lancent un défi insensé : celui de frôler la mort pour percer ce mystère. Malheureusement, leur tentative tourne au désastre. Dix ans plus tard, Victor croupit en prison, tandis qu'Eli est acclamé en héros. Mais ce que le monde entier ignore, c'est que le véritable monstre rôde dehors, en toute liberté...

Avis: 5/5       Coup de coeur

Je ne m'attendais pas à autant aimé ce roman. Au départ, le décor se plante doucement. Il y a des allers-retours entre passé et présent. J'ai apprécié le rythme soutenu des chapitres. On ne s'ennuie pas à une seule seconde. On est plongé dans un univers un peu noir, machiavélique, qui révèle des secrets assez sombres. Le mensonge et la manipulation sont au coeur de l'intrigue.

J'ai hâte de voir la suite.

Du 5 au 10 août 2019

Le ciel sous nos pas de Leila Bahsain-Monnier. Editeur Albin Michel. 2019.

Lu le 9 août 2019, emprunté à la bibliothèque de Vanves.

Dans ce premier roman plein d'énergie aux allures de conte moderne, Leila Bahsain, lauréate du prix de la Nouvelle de Tanger 2011, évoque dans une langue sensuelle, insolente et métissée, le parcours d'une jeune marocaine, depuis son enfance dans son pays natal à son arrivée en France.
Décomplexée vis- à-vis des hommes et de l'Occident, elle va vivre mille aventures, telle une Zazie moderne, entre rires et larmes ! Et briser un tabou : le pays des Lumières n'est pas la partie rêvée des droits de la femme maghrébine.

Avis: 2,5/5
Ce roman se lit facilement. Je n'ai pas trop accroché avec le style que j'ai trouvé trop haché et assez distancié. On suit cette jeune marocaine avant son arrivée en France mais également après. La place de la femme est évidemment compliquée à assumer et pourtant elle tente de le faire à sa manière. 

Du 5 au 10 août 2019

La rivière à l'envers de Maxe L'Hermenier et Djet. Editeur Jungle! 2018

Lu le 10 août 2019, emprunté à la bibliothèque de Paris.

Dans une contrée lointaine se trouve Tomek, notre héros, qui possède l'unique épicerie d'un petit village. On y trouve de tout et tout le monde vient s'y servir. Malgré une vie idéale, Tomek s'ennuie et rêve d'aventures.
Un jour, une jeune fille franchit le seuil de l'épicerie : elle achète un simple sucre d'orge et pose une question à Tomek : trouve-t-on de l'eau de la rivière Qjar dans son épicerie ? C'est une rivière qui s'écoule à l'envers et celui qui boira de son eau ne mourra jamais. Tomek n'en a jamais entendu parler, et la jeune fille repart, déçue. Pour sa part, le garçon est tombé irrémédiablement amoureux de l'inconnue.

Avis: 4/5
C'est une très jolie histoire, pleine de douceur et de rêverie. J'ai tout de suite aimé les personnages et leur simplicité. Le graphisme permet de mettre en images la quête de Tomek. C'est un bel ouvrage qui nous permet de rêver un peu. 

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