Du 7 au 13 octobre 2019

Les enquêtes du département V: Miséricorde de Mikkel Norgaard avec Nikolaj Lie Kaas, Fares Fares et Sonja Richter.

Sorti le 27 mars 2015, vu le 10 octobre 2019 sur Netflix.

Après une bavure qui coûte la vie à l’un de ses collègues et laisse son meilleur ami paralysé, l’inspecteur Carl Mørck a presque tout perdu. Mis sur la touche, privé du droit d’enquêter, il est chargé d’archiver les vieux dossiers du commissariat avec Hafez el Assad, l’assistant d’origine syrienne qui lui est imposé. Mais très vite, les deux policiers désobéissent à leur supérieur et rouvrent une enquête jamais résolue, la disparition mystérieuse d’une jeune politicienne prometteuse survenue cinq ans auparavant.  C’est la naissance du Département V et sa première enquête...

Avis: 3,5/5
Une enquête assez noire mais qui vaut le coup. On suit ce policier Carl, qui est torturé, à travers une nouvelle enquête qui ne devait pas du tout en être une au départ.

L'intrigue est bonne et donne froid dans le dos. 

Du 7 au 13 octobre 2019

Octobre de Soren Sveistrup. Editeur Albin Michel. 2019.

Lu le 11 octobre 2019, emprunté à la bibliothèque de Paris.

Début octobre. La police fait une découverte macabre dans une banlieue de Copenhague. Une jeune femme a été tuée et abandonnée sur un terrain de jeu. On l’a amputée d’une main et au-dessus de sa tête pend un petit bonhomme en marrons.
On confie l’affaire à la jeune inspectrice Naia Thulin, à qui on donne comme coéquipier un inspecteur en burn out, Mark Hess. Ils ne tardent pas à découvrir que le bonhomme en marrons est porteur de mystérieuses empreintes, celle de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte. Mais un suspect a déjà avoué avoir assassiné la fillette et le dossier semble clos.
Quelques jours plus tard, on découvre une deuxième femme assassinée et au-dessus de sa tête, un autre bonhomme en marrons sur lequel se trouvent à nouveau les empreintes de Kristine Hartung. Thulin et Hess cherchent un lien entre l’affaire de la disparition de la fille de la ministre, les femmes mortes et l’assassin qui sème la terreur dans tout le pays, et s’engagent dans une course contre la montre. Car ils en sont convaincus : le meurtrier est en mission et il n’en a pas encore terminé...

Avis: 4/5

C'est un gros pavé... et j'ai eu un peu peur au départ. Mais le style est extrêmement fluide, les chapitres sont courts et du coup le rythme est soutenu. L'intrigue est incroyable. On ne comprend pas trop où on va et c'est ce que j'attends d'un thriller. L'univers est froid, les personnages sont intéressants et font preuve de sang-froid.

Du 7 au 13 octobre 2019

Licorne de Nora Sandor. Editeur Gallimard. 2019.

Lu le 11 octobre 2019, emprunté à la bibliothèque de Paris.

La vie de Maëla, vingt ans, s'écoule au rythme des réseaux sociaux. Quand elle ne s'ennuie pas sur les bancs de l'université ou à la caisse du supermarché qui l'emploie, elle passe l'essentiel de son temps dans un monde rêvé. Elle est fascinée en particulier par un rappeur qui joue de son succès pour créer une mystérieuse identité virtuelle, et se met en scène accompagné de son ours des Carpates, Baloo. À son tour, Maëla commence à espérer une existence offerte à la curiosité des autres, qui la tirerait de l'anonymat. Tout s'accélère le jour où, à sa grande surprise, elle remporte un concours sur les réseaux pour participer au prochain clip du rappeur. Alors que des milliers de nouveaux followers assaillent le compte de la jeune inconnue, sa vie bascule enfin.

Avis: 2/5
C'est un petit roman qui plonge dans la réalité virtuelle de certains jeunes d'aujourd'hui. J'ai trouvé ça plutôt vrai même si je trouve cela triste. J'ai eu du mal avec le style que j'ai trouvé très froid. Le sujet m'attirait car je pensais à une critique mais finalement j'ai trouvé beaucoup de clichés et une certaine moquerie de ces gens qui ne vivent que par les réseaux. Ce roman parle d'une partie des influenceurs mais que d'un aspect négatif. 

Du 7 au 13 octobre 2019

Swan, tome 1: Le buveur d'absinthe de Néjib. Editeur Gallimard Jeunesse. 2018.

Lu le 13 octobre 2019, emprunté à la médiathèque d'Issy.

Tout juste débarqués de New York, Scottie et sa soeur Swan n'ont qu'une idée en tête : intégrer les Beaux-Arts de Paris. Guidés dans la capitale par leur cousin Edgar Degas, ils rencontrent Ingres, Manet, Fantin Latour... et découvrent que le Louvre fourmille de rapins qui copient les grands maîtres. Mais quel est le prix à payer pour intégrer ce monde en pleine effervescence ? De l'enthousiasme de la découverte aux premières désillusions, la passion de l'art va façonner leur destin.

Avis: 3/5

Une bande dessinée assez bien construite qui nous plonge dans le monde de l'art. On voit ainsi évoluer Scottie et sa soeur, ce qui permet de voir la différence entre homes et femmes, surtout à cette époque. Je ne suis pas fan du graphisme mais l'histoire est intéressante. 

Du 7 au 13 octobre 2019

Les petites victoires de Yvon Roy. Editeur Rue de Sèvres. 2017.

Lu le 13 octobre 2019, emprunté à la bibliothèque de Paris.

Comment dire à son fils tant désiré qu'il est le plus formidable des petits garçons malgré le terrible diagnostic qui tombe comme un couperet : autisme, troubles psychomoteurs, inadaptation sociale...
C'est le combat que va mener ce père, resté uni à sa femme malgré leur séparation, pour transformer ensemble une défaite annoncée en formidables petites victoires.

Avis: 4/5

Il n'est jamais évident de parler de handicap. Ici, on suit un papa qui a eu du mal au départ avec le handicap de son fils. Il évolue avec lui à chaque instant, et surtout il se bat au quotidien pour que son fils avance. C'est plein de tendresse et d'humour, c'est dur par moment, mais finalement comme la vie.

Le graphisme est doux et coloré et permet à cette histoire de prendre vie en mouvements. 

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